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    Bah merde i's ont fait un squatt là-bas. Comme on dit par beau temps "Qui voit Groix voit sa croix" des fois que t'aurais envie de prendre le large. Toujours gai les dictons bretons. Bon j'connais le chemin j'irais peut-être après la saison des abeilles. J'irais y foutre des ruches
     
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    ...en faisant gaffe à pas m' foutre dedans "l'trou du diable", 15m de fond, ça sélectionne sévère chez les bourrés, les têtes en l'air et les lunettes fumées
     
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    15 Mai 2021
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    (article complet piraté)

    " Plutôt que d’admettre l’inefficacité de la vidéosurveillance dans la lutte contre la délinquance, les industriels développent des logiciels d’analyse d’images pour détecter des comportements « suspects ». Malgré leur légalité contestée, ces technologies françaises, israéliennes ou chinoises séduisent des municipalités par dizaines.

    Dans l’univers de la sécurité, son profil détonne. Lunettes rectangulaires, look décontracté, débit mitraillette : William Eldin a tout du jeune chef d’entreprise 2.0. Fondateur de l'application GPS Coyote pour l’aide à la conduite, ce trentenaire aurait pu couler des jours heureux avec les millions tirés de la revente de cette société. Il a pourtant décidé de faire « all in » (miser au poker tout son argent d’un coup) et d’investir deux millions d’euros dans l’entreprise qu’il dirige aujourd’hui : XXII (à prononcer à l’anglaise, « Twenty Two »).

    Près de La Défense, à Puteaux, les 80 salariés, principalement des développeurs informatiques, peaufinent l’outil maison. Un logiciel de vidéosurveillance intelligente automatisée intitulé XXII CORE. Le principe est simple : XXII CORE se couple à des caméras déjà installées et automatise certaines recherches grâce à un filtre. Un individu à vélo grille un feu sous l’œil d’une caméra ? L’opérateur vidéo de la municipalité n’a qu’à cliquer sur l’icône « vélo » pour que le logiciel identifie tous les cyclistes sur un réseau de plusieurs dizaines de caméras. « Il n’y a pas que des atouts sécuritaires. Nous pouvons également détecter les dépôts d’ordures sauvages en temps réel », nuance William Eldin immédiatement, en bon communicant.

    Loin du bureau, le charismatique PDG s’improvise surtout VRP. Il multiplie depuis des mois les présentations de son logiciel d’intelligence artificielle auprès des maires et de certains sites privés. « À termes, l’objectif, c’est d’avoir une centaine de villes françaises dans notre portefeuille clients, détaille William Eldin. Nous voulons aussi nous implanter en Europe, au sein de sièges sociaux d’entreprises, de monuments, de parcs d’attractions... »
    Des mannequins dotés d’uniformes de police municipale à Milipol Paris (salon professionnel consacré à « la sûreté et la sécurité intérieure des États »), en octobre 2021. © Photo Stéphane de Sakutin / AFP

    Certaines municipalités se sont déjà laissé séduire par la « vidéosurveillance automatisée » (VSA dans le jargon), ou « vidéosurveillance algorithmique ». Au printemps 2021, XXII a signé un partenariat avec la ville de Suresnes (Hauts-de-Seine), où l’entreprise a longtemps établi ses locaux, pour coupler le logiciel aux caméras de la ville. L’objectif assumé de la mairie : identifier des maraudages, rassemblements de personnes ou toute action anormale de la part de citoyen·nes. Plusieurs villes de la région parisienne, comme Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) ou Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), testent également le dispositif.

    C’est que William Eldin accumule les stratégies pour convaincre. Il multiplie depuis des mois les passages dans les médias, où il défend l’idée d’une « IA éthique » (IA pour « intelligence artificielle ») à la française, capable de protéger les libertés individuelles tout en offrant aux forces de l’ordre de puissants outils de surveillance.

    Fin février, il débauchait par exemple François Mattens, directeur des affaires publiques du très puissant Groupement des industries de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres (Gicat), principal lobby de l’armement en France, maintenant vice-président aux affaires publiques et partenariats stratégiques du groupe XXII. Au sein du Gicat, François Mattens était en contact étroit avec les plus grandes entreprises du secteur aussi bien qu’avec le ministère de l’intérieur et les parlementaires qui travaillent sur ces questions. Une recrue de choix dans le combat qui se joue en coulisses entre les industriels du secteur, alors même que les technologies de vidéosurveillance automatisée sont encore en grande partie illégales.

    Depuis 2017, la Commission nationale informatique et libertés (Cnil), le gendarme français des données personnelles, n’a cessé d’alerter. « Ces technologies sont souvent vues comme le prolongement des systèmes de vidéoprotection, mais le code de la sécurité intérieure qui régit les caméras classiques ne prévoit pas leur usage », nous précise une juriste de la Cnil.

    Depuis son autorisation en 1995, la vidéoprotection dans l’espace public est en fait interdite par défaut : l’installation d’une caméra est conditionnée à une autorisation préfectorale. Et ce principe de « licéitié » (une technologie ne peut être déployée sans un texte l’autorisant explicitement) s’applique aux autres technologies de surveillance potentiellement attentatoires aux libertés fondamentales (liberté de circulation, droit au respect de la vie privée…). En bref, « rien n’autorise aujourd’hui l’utilisation de ces technologies [de vidéosurveillance algorithmique –ndlr] en France », résume notre interlocutrice à la Cnil.
    La ville de Marseille attaquée

    Pourtant, leur légalité contestée ne freine en rien le marché florissant de la VSA. Deauville, Marseille, Metz, Strasbourg… : des dizaines de collectivités sont aujourd’hui dotées de logiciels censés booster les performances de leurs caméras, avec des algorithmes servant à suivre des personnes ou des véhicules. Un grand nombre est recensé sur le site de La Quadrature du Net (principale association de défense des libertés publiques et numériques en France), qui attaque notamment la ville de Marseille. « L’implémentation de ces nouvelles technologies qui ciblent directement les populations les plus précaires marque une nouvelle étape dans la surveillance de l’espace public », s’inquiète Arthur Massaud, juriste à La Quadrature.

    Le patron du principal lobby du secteur, lui, se réjouit. « C’est la vidéoprotection 2.0, c’est un événement qu’elle arrive à maturité, déclare Dominique Legrand, président de l’association nationale de vidéoprotection (AN2V). Si on prend un lieu comme la gare Part-Dieu à Lyon, avec un réseau de 600 caméras, vous ne pouvez pas avoir les yeux partout. Que fait-on de ces 600 flux ? Option 1, rien. Option 2, on utilise des mécanismes d’automatisation qui permettent par exemple d’afficher à l’écran dès qu’un individu court. »

    Dans un projet de position récent sur la VSA, la Cnil pointe des usages multiples « au service d’intérêts aussi bien publics que privés » : outils « de détection automatique d’infractions routières », technologies ciblant des « attroupements d’individus », « la présence anormalement longue d’une personne dans certains lieux », les « comportements traduisant un état d'angoisse », ou encore des algorithmes permettant « le suivi d’individus par les exploitants de transports publics à des fins d’intervention par les services de sécurité compétents ». L’été dernier, le gendarme des données personnelles a infligé un « avertissement » à la ville de Valenciennes, à l’issue d’une inspection ayant permis de repérer plusieurs outils irréguliers (une information révélée par Mediapart).

    « Comme ces technologies sont interdites, les industriels multiplient les expérimentations pour faire avancer la loi peu à peu, glisse à Mediapart un chercheur de l’Institut Mines Telecom, qui souhaite garder l’anonymat et ne cache pas son inquiétude. De plus en plus d’entreprises développent des logiciels qui servent à repérer des comportements suspects, mais il y a toujours le même glissement : elles essaient de créer des algorithmes qui traduisent des comportements juridiquement répréhensibles. Sauf que c’est très compliqué en termes de code informatique, d’autant que les opérateurs de vidéosurveillance [qui observent les images dans des centres de supervision urbaine – ndlr] ont du mal à expliquer les comportements précis qui les alertent. Les industriels développent donc des logiciels apprenants, qui ne sont pas supervisés et avalent des heures et des heures de vidéos pour en tirer des paterns, des schémas récurrents. Et ce qui devient suspect, c’est ce qui sort de la norme. » Ce système, dit-il, génère ainsi de nombreuses fausses alertes.
    Destruction d’une caméra de vidéosurveillance lors de la manifestation contre la loi Sécurité globale du 28 novembre 2020, à Paris. © Photo Olivier Marchesi / Hans Lucas via AFP

    La Cnil, par ailleurs, ne manque pas de souligner que le marché de la vidéosurveillance « intelligente » est « détenu essentiellement par des acteurs étrangers ». Créée en 2008, Briefcam, entreprise israélienne filiale de Canon, fait partie de ces sociétés implantées en France. Sa technologie, qui permet la reconnaissance faciale comme le suivi de personnes, est déjà utilisée dans une trentaine de collectivités, dont Moirans, en Isère (lire ici notre reportage).

    À Roanne, dans la Loire, la municipalité a investi en juin 2021 dans ce logiciel dans l’espoir de rendre plus efficace son réseau de 255 caméras. « Nous avons beaucoup de réquisitions d’images de la part du procureur de la République, explique son maire Yves Nicolin (LR). Briefcam permet d’accélérer le visionnage des images par nos agents, en utilisant un filtre selon les caractéristiques données : une date, un vêtement, une automobile. » L’entreprise, qui compte parmi ses clients le Puy-du-Fou et ses 300 caméras, lorgne comme XXII sur le juteux marché des parcs d’attractions.

    Autre acteur étranger notable : Hik Vision, entreprise chinoise parmi les plus populaires du secteur. Ses concurrents vendent des logiciels qui s’ajoutent à un système de vidéoprotection déjà présent, tandis que Hik Vision propose des caméras dernier cri qui embarquent directement des logiciels d’intelligence artificielle. Parmi ses clients : les villes de Lyon, Montpellier ou Salon-de-Provence, les ports de Calais et plusieurs prisons françaises, mais aussi des acteurs privés comme Monoprix ou la société Eurotunnel.

    Aux État-Unis, l’entreprise, largement financée par les fonds publics chinois, est considérée comme directement liée à la défense chinoise. Elle est aussi impliquée dans la répression des Ouïghours en Chine. En 2018, comme l’expliquaient nos confrères de Next INpact, l’entreprise avait signé « un contrat de 53 millions de dollars pour la construction d’un système de “reconnaissance faciale de masse” déployé dans une province, des mosquées et des centres de rééducation du Xinjiang ».

    « Il y a une vraie question de souveraineté numérique pour ces outils, pointe un acteur de l’industrie, sous couvert d’anonymat. On ne peut pas dépendre de technologies étrangères pour un matériel aussi critique. » Un argument politique mais « aussi commercial », glisse-t-il.

    Ils font une présentation très bien ficelée, ça fait kiffer le maire, même s’il ne comprend rien.

    Un acteur du secteur

    Foxstream, Wintics, Videtics, Evitech, Aquilae… : surfant sur la vague du made in France, quelques start-up françaises disputent le marché aux entreprises étrangères et aux géants français du secteur comme Thales ou Engie Inéo. « Dans les hautes sphères, la reconnaissance faciale apparaît comme de plus en plus difficile à mettre en place pour les Jeux olympiques de Paris en 2024 », continue la même source. Trop sensible. « La vidéosurveillance automatisée est l’alternative la plus en vue et ça dope le marché. »

    En plus de XXII, Two-i ferait partie des noms ayant le vent en poupe. « Leurs stratégies sont fondamentalement différentes, confie un autre acteur du secteur. La méthode de William Eldin, c’est de parler directement aux communes. Ils font une présentation très bien ficelée, ça fait kiffer le maire, même s’il ne comprend rien. Et tu as d’autres entreprises comme Two-i, qui passent par les intégrateurs, les entreprises qui installent les équipements dans les communes, ce qui est plutôt la stratégie traditionnelle. »

    Aussi discrète que XXII est médiatique, la société messine Two-i s’est fait connaître en testant un logiciel de détection des émotions dans le tramway de Nice et de la reconnaissance faciale au stade du FC Metz. Elle a surtout conçu l’une des plateformes les plus abouties de la vidéosurveillance automatisée, un logiciel d’« hypervision » duquel jaillissent des alertes sur la cartographie d’une ville en temps réel : « accident de voiture », « embouteillages », mais aussi « fièvre », « absence de masque » ou « distanciation sociale ».

    En cliquant sur ces points, le contrôleur du logiciel accède au contenu vidéo. Des filtres lui permettent de vérifier la température corporelle des citoyen·nes ou de consulter une batterie de statistiques. Un système de surveillance à l’échelle d’une ville, déjà élu solution la plus innovante de l’année dans la catégorie sécurité des villes intelligentes au salon Milipol 2019. Des villes françaises utilisent-elles cette plateforme ? Une question que nous aurions aimé poser à Guillaume Cazenave, fondateur de Two-i, qui a rejeté notre demande d’interview.

    Reste que les affaires semblent bien tourner : en avril 2021, la start-up française annonçait fièrement dans la presse locale son ouverture à l’international, grâce à un partenariat avec Zeebrugge pour surveiller le trafic routier et piéton sur l’espace du port situé à Bruges (Belgique), l’un des plus importants d’Europe.
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    Le succès de ces technologies est aussi dû aux limites de la vidéosurveillance traditionnelle : zoom pas assez puissant, branches d’arbres qui limitent la vision ou caméras pivotantes qui changent de champ lors de la commission de l’infraction… Des études contestent ainsi l’utilité de ces systèmes de vidéosurveillance traditionnelle en matière de lutte contre la délinquance. Mais ce constat d’échec, les entreprises du secteur le retournent à leur avantage grâce à un discours bien rodé : si la vidéosurveillance est inefficace, ce n’est pas à cause du matériel, mais parce que les vidéo-opérateurs sont submergés par le flux et ne peuvent pas tout détecter. La faille n’est plus technologique, elle est humaine. Et l’intelligence artificielle devient la solution miracle à cette défaillance.

    « On est en train de multiplier les capacités d’action des policiers de manière exponentielle, constate Arthur Massaud, juriste à La Quadrature du net. Mais tous les corps ne seront pas surveillés de la même manière. C’était déjà le cas avec les drones et la loi Sécurité globale. Là, ce sera comme se doter de milliers de policiers en plus. Sauf que la police lutte déjà relativement efficacement contre la criminalité et que les technologies qui se développent ciblent l’espace public, pas l’espace privé où ont lieu, par exemple, l’immense majorité des violences sexuelles. Ils peuvent donc faire plein d’autres choses, notamment traquer les petits leaders politiques, comme ils l’ont déjà fait pendant les “gilets jaunes”. » Ou « cibler les petits délits, donc les plus pauvres ».

    Par Clément Le Foll et Clément Pouré. Médiapart.

    Des algorithmes au coin de la rue, ou le nouveau business de la vidéosurveillance automatisée
     
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