textes perso

Voila quelques textes que j'ai écris a différentes périodes.
Si ça plait, j'en ajouterais d'autres.

choper un faf a coup de kalash,
refaire sa vilaine ganache cash.
envi de clash, pas de cache-cache,
poursuivre ces bréles sans relâche.
faire saigner un max ces taches,
les voir courir comme des lâches.

car mes phrases sont des piques,
mes phases te piquent clic clic.
boom boom c'est l'déclic,
dans ta putain d'face archaïque.
dernier rempart héroïque,
inquiète toi faf j'reste pas stoïque.

je hack grave ton sale rac,
tu sait ta musique pourrave de réac.
j'garde toujours la pêche et la gnak,
pour verser un grand fond d'amoniak,
sur tes sales idées d'paranoïaque.
j'clac mon bic tel un chevalier du zodiak.

c'est étrange ce challenge me démange,
oups hips tu voit pas que l'monde change.
bam bam j'trace a coup d'phalange,
un trait sur ton mouvement que j'vidange.
tu t'prend pour un ange ?? t'es la fange,
d'une société qui aujourd'hui se mélange.

tu te pense savant, mais tu brasse que du vent,
t'es un mort vivant, les autres vont d'l'avant.
tu veut passer d'vant, mais t'es pas innovant.
navrant, t'existe qu'en gueulant et buvant.
je te trouve décevant, tu me trouve énervant,
c'est la fin un coup d'dissolvant, suivant.






A la radio, a la télé, j'ai arreté d'compter les tocards
conventionel pompeu jamais le moindre écart.
ça pompe, ça pompe, sortez les branquards,
bang bang v'la qu'débarque l'aut'tricard.

Et ouais j'viens calter d'un trait les faux-rebelles,
one shoot mec, y'aura ni revanche ni belle.
Réfugie toi derrière ton putain d'label,
pour expliquer ton manque de decibel.

J'fais pas semblant, j'ai que ma bite et mon stylo,
je charge, j'te cible et j'tire tout ça sans dactylo
pour transposer mes mots par kilos.
retient le bien, et trace ça au stabilo.

Nouvel star acc', a la recherche de la dernière merde,
un jour faudra penser a fermer son claque-merde.
Sur les ondes, on reconnait les manges-merde,
qui nous casses les oreilles, qui nous emmerdes.

Skyrock, fun radio, chiasse FM, aucune variation,
toujours les mêmes reprises pas d'création.
dès les premières notes fusent les radiations,
pas le choix, reste une solution: l'évacuation.







A la mémoire de Clément.

C'est l'histoire d'un jeune gars, militant pour une société meilleur,
il croisât la route de sales skins, qui l'engagèrent sans un remord.
Il reçu un peu trop d'dégats, de son adversaire un tueur,
qui bien sur de façon mesquine, avec une arme le battu a mort.
Car la seule façon de débattre, de cette tribu de sauvages,
la seule manière de s'exprimer, de cette bande de politicides,
sera toujours de se battre pour ces nostalgiques d'l'esclavage,
sera toujours de décimer pour ces amoureux d'génocides.

Va falloir faire preuve de vigilance,
pour les amis de la tolérance.
Quand a ceux qui prône l'hyper-violence,
ne s'ront jamais des fils de France






je prend mon stylo
t'ecrire sans psylo
te jeter a l'eau
espece de salo

on va trouver ta faille,
antifacho style


j'peut pas t'supporter
va t'faire avorter
je vais pas t'citer
jamais plebiscité

t'es surement pas d'taille,
antifacho style


je te vois qui rage
peu importe ton age
t'es comme un mirage
une fausse image

tu va voler tel un fetu d'paille,
antifacho style


impossible d'etre sage
tout comme ce passage
un dernier message
faut un decrassage

enfile ta cote de maille,
voila que debarque l'antifacho style.







Sans préfixes, j'débarque la rage dans les veines comme un fixe.
a coup d'BMX, j'ai des envies d'péter un camtar d'la brinks.
Tel le phénix, j'reviens m'amuser au freesbee avec ton DIVX.
j'suis pas astérix, j'viens coller ton remix a grand coup d'patafix.

pas de SAV, ne cherche pas un sens la d'dans rien a bravé,
en GAV, je l'savais qu'la situation ne pourrait que s'aggraver.
j'l'ai gravé, "Merde In France" c'était dans ta gueule un pavé.
dépravé, pas l'choix, j'ai du m'démerder: chouraver, bicraver.

Exquise, la marquise avec qui je partage une bonne tize,
pas d'bise sauf quand j'baise, clair qu'c'est d'la flemardise.
La mouise, j'commence ma psychanalyse sous forme de quizz,
d'la franchise mais fallait qu'j'analyse une cause acquise.

Narquoise, elle me fait carrément triper cette iroquoise,
une ardechoise bécheuse qui veut m'offrir des framboises.
on s'toise, trop belle la scène a immortaliser sur ardoise.
courtoise, cette anti-bourgeoise me tend sa cervoise.

Dos a dos, j'tend la main pour récupérer l'bout d'bedo
un peu crado que m'tend la beauté a crête sado,
libido quand tu nous tiens devant tout les badeaux.
c'est l'crédo des deglingos a prendre comme un cadeau.

taratata dédicace a Barka et tata, sos les gars c'est la cata,
plus d'méta, alors j'sors des mots et ça r'ssemble à un attentat.
C'est l'état de grâce, démerde toi j'suis livré en version beta.
Carlita, ma lolita vient avec moi boire une margarita en duplicata.

A la cafèt' c'est ouf tout ce qu'on peut trouver comme amphêts,
satisfaite ?? cette affaire est parfaite vient on va faire la fête.
trouble-fête, j'suis l'prophète de ces nymphettes c'est un faite.
Stupefaites, ces nanas n'ont apparemment jamais connut la défaite.

La suite, trop d'chite donc même pas la force d'avoir le coït
la fuite, car plus possible aujourd'hui de jouer a chat-bite.
t'es cuite, comme les carottes ouais d'accord mais ensuite ??
Ma conduite ?? douteuse comme d'hab et surtout très limite ...

j'm'excuse d'avoir été obligé d'user d'une certaine ruse,
j'abuse, mais j'avais vraiment envie de faire mumuse.
j'diffuse des idées trop confuses et c'est sur je m'amuse
ça infuse, ça fuse lorsque que je regarde ma muse.








Je ne deviendrais pas poli pour être apprécié des âmes sensibles,
lorsque ma verve s'agite, elle frappe, prend tout pour cible.
A coup de bites, de chattes, de cons ou de pétasses,
mon phrasé n'a pas de politesse, les mots choquants s'entassent.
Sans compromis aucun lorsque la situation l'exige,
mon langage n'a plus d'égale que ma rage alors gaffe,
planque toi si t'a peur qu'en 3 lignes j't'agrafe.
en un couplet s'tu fais pas gaffe tu risque l'vertige.

En ajoutant un 2 éme tu risque la crise cardiaque,
insomniak, j'rebondis et t'achève porté par la gnak.
de tout bord que tu soit, méfie toi car y'a pas d'essai,
j'te décoiffe et t'pérturbe comme un riff d'ac/dc.
En un clic, clic boom j'tire en prio sur les puissants,
mais si tu t'met au milieux, t'étonne pas qu'ça gicle,
qu'ça tache, j'me gère plus et j'pond c't'article.
pour conclure je n's'rais jamais un mec obéissant ...






C'est ma p'tite soeurette,qui joue a la dinette,
pendant que moi je pete ces poupees a la baïonette.
Elle etait blondinette,et vivait d'amourette,
en fumant des cigarettes,en buvant des canettes.
J'lui montrais ma pauv'crete, mais elle n'etais pas prete.
J'mettais une chansonette dans l'auto-cassette.

yeah Elle etais fluette,et plutot mignonette,
elle jouait de la clarinette et de la mitraillette.
On file a la buvette boire un bebe eprouvette.
Elle prefere les sucettes au bon gout de chaussette.
Elle me file un coup d'rocket,elle est tres doucette.
En ce moment je pete,ca ca fait tres poete.

Elle me propose des rillettes,avec des devinettes,
et pis une omelette,faut bien que j'me soumette,
et toujours en cachette,me balance des flechettes.
Fais moi une soufflette,et passe moi le pet'.
J'suis allume d'la tete, coincée dans la cuvette,
qui est rempli d'anisette et de quelques cotelettes.






Tu m'avais donné rendez-vous dans un bar d'amsterdam,
tu m'a regardé marchander la came avec ces dames.
Mais tu n'avais pas remarqué mes cheveux tout bleu,
qui se mouillait les jours ouais les jours où il pleut.
Tes yeux rougit par la conso-consomation des drogues,
me faisaient imaginer ouais ta future morgue.
Tu croyais que les chiens que les chiens te suivaient,
c'etait juste tes putains d'idees de deprave.

Tu me faisait peine ouais car je t'aimais,
mais je ne pouvais accepter ta tete de camée.
Tu peut arriver a jouir sur tes joues,
lorsque ta tete tombe ouais tombe dans la boue.
Tu me confies tes seringues,souillees de cette merde,
je voulais qu'tes sales manies a jamais tu les perdes.
Mais le jour de ton O.D. ça ouais j'ai pleurer,
je savais comment tout ça,tout ça finirais.

Depuis je jongle avec ma vie,avec ton souvenir,
j'essayais chaque jour d'effacer ton sourir.
Tu as pu echapper à la melancolie,
tu m'a laisser seul,face a ton deces.
Je n'ai jamais regrette de n't'avoir suivi,
dans tes envies de came,ouais j'suis toujours en vie.
Depuis j'ai que la tristesse de n'avoir jamais vu,
l'espoir de t'voir te remettre de ta putain d'bevue.






petite âme perdue, tu recherche ta route,
mais montagnes d'embûches qui te font tant frémir,
et le temps passant en toi s'installe le doute,
en gardant l'espoir t'arrive même a en rire

coeur a la dérive tu voudrais t'en aller,
laissant tes souvenirs au milieux des galets,
tristesse désespoirs émotions refoulées
mais les yeux mouillées ton coeur veut couler,
tu laisses des traces flaques rouge sang,
là ou a la place gisait murmure lassant
et là tu comprend qu'il te reste que le vide,
de ses sentiments jugés bien trop rapides.

tu dresses la tête et là tout devient clair,
l'amour dont tu rêves, lui peut être t'éclaire,
comme un coup de foudre qui éclate ton coeur,
comme un feu aux poudres, et là t'entend des choeurs

tu vois d'étranges symboles le long de ton chemin,
obscurs déformés et glissant de tes mains,
ton courage se rétracte ta beauté s'amplifie,
des questions te hantes, mais que tu modifies
que demandes tu, hein un peu d'amour?
cette funeste époque, elle; te l'interdit
et telle un fétu surement sans humour,
c'est tes rêves qu'on tue, seulement le sais tu dis?






Il m'arrive encore de penser,
quand il pleut,qu'on est sans abri,
à ce vieux garage squatté.
Là se voyait les insoumis,
autour d'un barbec de merguez,
l'alcool coulait a flot,c'etait a l'aise.

Refrain:
On a tous eu un squatt,
qu'a ferme quand ça se gate.

Tournaient les idees,les petards.
On revaient d'une revolution,
où les chiens jouaient à la bagarre.
On ne sera jamais les pions
d'une societe capitaliste,
seulement des putains d'anarchistes.

Si les murs etaient tous tagges,
que la flotte coulait par le toit,
on regrette cette caserne squattee.
Alors tant qu'a faire faites pas ça,
car on s'en branle s'il y a des blattes.
Ca ne coute rien d'ouvrir des squatts.

 

Re : textes perso

j'ai toujours eu de bonnes raisons d'écrire et notamment le premier. Je l'ai pas écris juste pour faire beau, et si les mots choisit sont violents, ce n'est ni pour faire joli, ni par hasard.
Cela dit je peut comprendre ton point de vu.
Et merci pour tes compliments

 

Re : textes perso

Comme je t'ai dis je comprend ton point de vue, et comme tu l'a parfaitement décrit, la passion y est effectivement pour beaucoup que ce soit dans la violence ou dans la mélancolie.
Si tu a des textes, je serais ravis de te lire

 

Re : textes perso

Et j'assume entièrement le ton et la teneur de ce que j'écris
Pour finir, je sais que mes textes ne peuvent plaire a tous le monde, je suis même agréablement surpris a chaque fois que quelqu'un en apprécie un.

 

Re : textes perso

je vais voir ça de ce pas camarade

 

Re : textes perso

j'ai pas encore tout lu, mais j'ai beaucoup aimé 'autodestruction" et "enchainé" pour le moment.
pour "combat métaphorique", je suis toujours admiratif des personnes sachant écrire en prose, j'en suis personnellement incapable
en tout cas bravo, je m'en retourne poursuivre ma lecture

 

Re : textes perso

merde je suis flagué ...
oui, j'aime beaucoup ton écriture Je comprend mieux à ton style zen, lorsque violence il y'a que ça te plaise moins

 

Re : textes perso

Tous mes textes ne tournent pas autour de la haine, cela n'en concerne que quelques uns. Mais je ne t'apprend rien en te disant que l'on écrit selon notre humeur, et que notre expression varie de l'un a l'autre.
Après dans la musique par exemple j'aime les trucs cool en général, soit a jouer soit a écouter. j'adore la trance (de la tekno pour hippies ), et dans tous les styles que j'écoute j'évite les trucs trop violent ou haineux de façon général.
Après comme je t'ai dis je comprend ton point de vu, et d'une certaine manière je le partage, la haine il est vrai n'arrange que rarement les choses.
Mais dès fois quand tu écrit, ça soulage quand même

Cela dit de l'amour à la haine il n'y a qu'un pas ...

 

Re : textes perso

Faut en finir avec l'idée de nation,
ainsi qu'avec ces cons de religions.
Esclaves d'un système en fin de vie,
Obéir a des lois, mais qui en est ravi ??
des règles pour résoudre les problèmes ??
faux, elles nous rendent trop blêmes.
Et nous empêches de nous épanouir,
ici tout est fait pour nous éblouir.

Bouge ton cul,
putain mais bouge ton cul

Il ne faut surtout pas baisser les bras,
ne jamais oublier l'idéal che guevara,
et ne pas compter sur de l'abracadabra,
pour envoyer cette merde au débarras.
Oublie le concept actuel du tout pognon,
ou tu finira l'esprit vidé jusqu'au trognon.
Rappel toi qu'on est pas là pour survivre,
y'a des chemins qu'il ne faut jamais suivre.

 

Re : textes perso

yep cimer ma gueule

ben ouais j'espère bien que tu pense pas que je suis un gros con haineu

et merci

 

Re : textes perso

Trop longtemps que les fafs,
sont pour tous une menace.
si l'on tardes trop a réagir,
trop d'entres nous vont périr,
sous les coups des milices
fascistes protégé par la police.

Le massacre a déjà commencé
il est temps de contrebalancer
et arrêter de compter les victimes,
car notre lutte demeure légitime.

Ces fumiers ont trop la confiance,
porté par une malsaine ambiance.
Le contexte pue trop fort l'urine,
depuis l'apparition de la marine.
La normalisation du nationalisme,
nous plonges tous dans l'égoïsme.