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900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

Discussion dans 'Forum Quebec Underground' créé par QuebecUnderground, 29 Juin 2010.

  1. QuebecUnderground

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    4 Avril 2008
    La Convergence des luttes anticapitalistes, la CLAC, affirme que lors du sommet du G20 à Toronto, les policiers ont carrément procédé à du «kidnapping», de l’intimidation et du harcèlement.

    «Les policiers se sont montrés coupables d’entrée par effraction sans mandat, de profilage, d’intimidation, de harcèlement, de kidnapping, d’usage démesuré de la force», écrit la CLAC dans son communiqué.

    Lors d’une conférence de presse, aujourd’hui à Montréal, au lendemain du sommet du G20, des porte-parole de la CLAC ont tracé un parallèle entre les 900 arrestations «politiques» des sommets du G8 et du G20 et celles qui ont eu cours lors de la crise d’octobre, en 1970.

    Leur communiqué mentionne qu’il y avait eu trois fois moins d’arrestations lors de la crise d’octobre. A l’époque, des intellectuels, des chansonniers, des poètes avaient été arrêtés pour leurs opinions sociales et politiques, parfois à leur domicile.

    «On est là pour s’exprimer. Les bris qu’il y a eus à Toronto, je m’excuse mais ce ne sont que des bris matériels, des bris qui ont été commis envers des commerces, peut-être des multinationales, des voitures de police peut-être, des banques aussi, mais c’est justement à ces symboles du capitalisme-là qu’on s’en prend», a lancé Danie Royer, coporte-parole de la CLAC.

    Les porte-parole n’ont pas voulu se dissocier des actes de vandalisme qui ont été perpétrés par certains manifestants, comme l’incendie de voitures de patrouille ou le bris de vitrines.

    «Nous, on a une approche de respect et de diversité des tactiques. On respecte que les gens aient toutes sortes de moyens d’action pour s’exprimer. On respecte aussi le fait que les gens soient en colère, surtout dans un contexte de sommet comme ça, où on a vraiment paralysé la ville de Toronto, on a mis les gens dehors, on a encouragé les gens à partir. Pour nous, c’est du vandalisme contre certains commerces qui sont responsables de choses beaucoup plus graves, de morts dans le monde, de pollution, qui poussent des gens au crédit au suicide. Pour nous, ce n’est pas que c’est anodin, mais c’est symbolique et ce n’est pas quelque chose qui se compare avec la violence généralisée dans notre monde qu’on a actuellement», a expliqué l’autre coporte-parole de la CLAC, Mathieu Francoeur.

    Un des communiqués remis à la presse, émanant du «centre de médias indépendants du G20» compare le comportement de la police de Toronto «à la façon d’agir des armées d’occupation d’Afghanistan, d’Irak ou de Palestine».

    Selon Mme Royer, 450 personnes avaient pris l’autobus avec le groupe, de Montréal vers Toronto, vendredi dernier et seulement 125 étaient du voyage du retour. Elle ignore ce qu’il est advenu des 300 autres. La police a fait état de 70 Québécois parmi les plus de 900 manifestants arrêtés.

    Profilage francophone?

    La coporte-parole de la CLAC a accusé les policiers d’avoir fait du «profilage» contre les Québécois francophones. «Tous ceux qui étaient dans la rue et qui parlaient français ou qui avaient une plaque du Québec étaient arrêtés sans justification», a soutenu en anglais Mme Royer.

    Le regroupement parle de répression «jamais vue dans l’histoire du Canada».

    La CLAC annonce d’ailleurs une manifestation à Montréal, jeudi à midi, au Carré Philips, en soutien à la cause et aux «camarades» arrêtés puis relâchés, ou encore détenus à Toronto.
    La CLAC se décrit comme un réseau de groupes et d’individus qui s’intéressent aux droits des immigrants, aux droits des femmes, qui proviennent du mouvement communautaire ou qui s’opposent au capitalisme.

    - Le Devoir









    900 arrestations en 32 heures (LCN)

    Sévèrement critiqué pour ses actions et ses inactions au cours du weekend du G20, le Service de police de Toronto a concédé qu’il a été pris de court par l’ampleur des manifestations et des actes de vandalisme perpétrés dans la ville, en particulier samedi.

    «Les policiers de Toronto et les citoyens de la ville ont traversé un weekend très difficile, quelque chose que nous n’avons jamais vu avant», a mentionné dimanche soir le sergent Jeff McGuire, du Service de police de Toronto. Les images des voitures de police incendiées et des vitrines de commerces fracassées ont fait le tour du monde.

    Alors que les casseurs s’en donnaient à cœur joie, samedi, des commerçants se demandaient où était la protection policière. «Il n’y avait qu’un seul policier ici (samedi), et il est parti en courant», a indiqué Zohrab Kilislian, le propriétaire d’une bijouterie du centre-ville qui a été pillée.

    Dimanche soir, environ 200 personnes ont été «détenues» à l’intérieur d’un important quadrilatère du centre-ville pendant trois heures sous la pluie battante. Bon nombre de ces individus, ont mentionné des témoins, étaient des curieux ou des résidants du quartier avoisinant les rues Queen et Spadina.

    Le sergent McGuire a indiqué que les officiers avaient raison de croire que des membres du groupe d’activistes Black Bloc pouvaient se retrouver parmi ces gens.

    «Nos membres ont aperçu des personnes avec des masques qui se préparaient à des activités qui ressemblaient à ce qui a causé d’énormes problèmes, samedi. C’est pourquoi les policiers ont utilisé leurs ressources pour arrêter la marche (à cette intersection)», a expliqué le représentant du Service de police de Toronto.

    Tout le monde confiné dans l’encerclement a été libéré sans condition peu avant 22 h, dimanche. «Nous ne sommes pas parfaits. Nous prenons des décisions, et nous espérons que les gens vont continuer à nous épauler», a précisé le sergent McGuire.

    Les coûts pour la protection des leaders mondiaux aux sommets du G8 à Huntsville et du G20 à Toronto ont dépassé le milliard de dollars. Plus de 10 000 policiers de partout au pays ont été assignés à assurer la sécurité à Toronto. Plus de 900 personnes ont été arrêtées en environ 32 heures au cours de la fin de semaine en lien avec les manifestations anti-G20.










    TORONTO - Manifestants et policiers étaient toujours en pleine confrontation hier soir dans les rues de Toronto, quelques heures après la fin du Sommet du G20.

    Les forces de l'ordre ont encerclé plus d'une centaine de personnes qui se trouvaient à l'angle des rues Queen et Spadina, l'une des intersections les plus achalandées de la ville, et procédaient à des arrestations.

    Selon des témoins sur place, des curieux venus voir ce qui se déroulait dans le centre-ville ont été coincés dans les mesures de retenues mises en oeuvre par les policiers.

    Les canons soniques ont été dépêchés sur place, mais ils n'ont pas été utilisés.

    Les policiers avaient arrêté plus de 900 personnes de samedi à hier en lien avec les manifestations anti-G20.

    Ils ont notamment procédé à l'arrestation de quelque 70 personnes à l'Université de Toronto, hier matin. Des jeunes, mais aussi des individus dans la cinquantaine ont été interpellés et menottés. Plusieurs d'entre eux sont des Québécois.

    Des briques, des pierres et des bâtons ont été trouvés sur les individus arrêtés, des articles que la police qualifie «d'armes de rue».

    Plusieurs des personnes interceptées portaient des vêtements noirs. La plupart des casseurs qui ont vandalisé des commerces du centre-ville, samedi, étaient habillés en noir. Les émeutiers portant du noir sont souvent identifiés au Black Bloc, une structure informelle d'activistes qui s'attaquent avec violence aux symboles du capitalisme.

    Vandalisme

    Des dizaines de vitrines de commerce ont été fracassées dans le centre-ville de Toronto durant la fin de semaine. Au moins quatre voitures de police ont été incendiées. Le Groupe intégré de la sécurité (GIS) du G20 a mentionné que 14 personnes ont été soignées pour des blessures mineures, dont huit policiers.

    De plus, des gaz lacrymogènes et des balles de caoutchouc ont été utilisés par les forces policières pour disperser les manifestants qui ont protesté contre l'incarcération de centaines d'entre eux à la prison temporaire utilisée pour le Sommet du G20.

    Quelque 150 protestataires se sont rendus à l'extérieur de cet ancien studio de cinéma situé dans l'est de la ville, en matinée, pour chanter et crier afin que les personnes détenues puissent les entendre.

    La manifestation avait débuté dans le calme, mais les esprits se sont échauffés. Des individus qui ont été libérés ont été accueillis en héros par les manifestants.

    Journalistes brutalisés

    La police n'a pas fait preuve de la même patience que samedi et elle a chargé les protestataires pour ensuite en arrêter certains, qui ont été transportés dans des fourgons cellulaires. Certains journalistes auraient été brutalisés. Le directeur des communications du premier ministre Stephen Harper a salué le travail des policiers.

    «Nos policiers ont fait un magnifique travail pour s'assurer que ces voyous ne causent pas plus de dommages à la ville», a fait savoir Dimitri Soudas.

    On rapporte qu'un journaliste canadien travaillant pour le journal britannique The Guardian a été arrêté et battu par les policiers samedi soir.

    La plupart des cafés du centre-ville sont restés fermés hier. Plusieurs Starbucks et Tim Hortons ont été la cible des vandales lors des émeutes de samedi.

    Le gouvernement fédéral a indiqué qu'il ne paierait pas pour les dommages causés par les manifestants.

    La manifestante américaine Bridie Wyrock a fait savoir qu'elle avait été jetée dans une petite cellule pendant 19 heures, sans la possibilité de voir un avocat.

    La jeune fille de 20 ans, originaire de Cleveland, était à Toronto pour prendre part à la manifestation anti-G20, lorsqu'elle a été arrêtée par la police.

    Une équipe spéciale de l'Agence des services frontaliers du Canada a été créée pour permettre de déporter les criminels étrangers parmi ceux et celles qui ont été arrêtés. Ils pourraient être interdits de séjour au Canada en raison de leur dossier criminel s'ils sont reconnus coupables indique l'Agence des services frontaliers.
     
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  3. QuebecUnderground

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    Re : 900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

    http://www.youtube.com/watch?v=TGjlHWarXeg&feature=player_embedded

    Même la représentante de Quebec Solidaire a été arrêtée.... Les flics répriment même les partis politiques !!!

    CANADA ÉTAT POLICIER !!!


    À lire aussi : le récit d'un membre de l'UCL victime de répression injustifiée
    http://forums.resistance.tk/showpost.php?p=79050&postcount=3




     
  4. QuebecUnderground

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    Re : 900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

    La CLAC 2010 continue la lutte Le 13 juillet 2010 - Les deux derniers Montréalais (Jaggi Singh et Patrick Cadorette) étant détenus à Toronto suite aux événements du G20 ont enfin été relâchés hier après-midi suite à une enquête de remise en liberté sous caution devant la cour.



    Libération des deux derniers Montréalais détenus suite au G20

    Rest of the text: La Convergence des luttes anticapitalistes de Montréal (CLAC2010) se réjouit de la libération de ces prisonniers politiques, ainsi que des centaines d'autres personnes du Québec arrêtées durant le Sommet, mais dénonce la criminalisation sans précédant des mouvements sociaux et la répression politique qu'ont subi les opposant-e-s au G20 qui ont convergé à Toronto du 25 au 27 juin dernier.

    Jaggi Singh et Patrick Cadorette, tous deux militants de la CLAC 2010, ont été arrêtés relativement à leur contribution aux luttes pour la justice sociale et contre les institutions capitalistes que sont le G8 et le G20. Les deux organisateurs communautaires ont été incarcérés durant plus d'une semaine pour le simple fait d'avoir contribué à l'effort de mobilisation et d'éducation populaire contre le sommet du G20. Ces deux militants sont reconnus et appréciés de leurs pairs pour leur dévouement et leur travail exceptionnel au cours des derniers mois au profit de la campagne d'éducation populaire et l'organisation des transports et de l'hébergement à Toronto.

    Les accusés devront maintenant se soumettre à une excessive série de conditions jusqu'à leur prochaine comparution en cour. « Nous sommes en colère de constater qu'on criminalise des organisateurs communautaires impliqués dans l'organisation de la mobilisation contre le G20. Nous n'allons certainement pas laisser les pouvoirs policiers et étatiques museler notre mouvement de la sorte. Avec un nombre record de participation à la dernière assemblée de la CLAC où nous étions plus de 130, nous sommes plus mobilisé-e-s que jamais et continuerons de lutter sans relâche contre toutes les formes d'oppression. » soutient Danie Royer, coporte-parole de la CLAC 2010.

    « Près de 1090 personnes ont été arrêtées durant le G20 et parmi elles, 827 ont été relâchées sans qu'aucune accusation ne soit portée contre elles. Ces personnes ont subi de graves violences physiques, psychologiques et verbales de la part de la police de Toronto, tant dans la rue qu'en prison. La stratégie policière visait clairement à réprimer les mouvements sociaux progressistes. Les Québécoises et Québécois venu-e-s à Toronto pour manifester sont des personnes qui militent au quotidien pour la justice sociale et environnementale, contre la militarisation, l'exploitation des travailleuses et travailleurs et l'oppression des femmes et des populations immigrantes. Nous ne sommes pas des criminel-le-s !» explique Mathieu Francoeur, coporte-parole de la CLAC 2010. Notons aussi que plusieurs détenu-e-s du Québec ont mentionné avoir été particulièrement discriminé.e.s et même ciblé.e.s par la police de Toronto relativement à leur provenance.

    Face à la violence policière, aux attaques contre la résistance et aux arrestations sans précédant des manifestant-e-s anti-G20, la CLAC 2010 appelle l'ensemble des mouvements sociaux à se mobiliser en solidarité avec les victimes de l'appareil répressif. « Nous avons l'appui de la majorité de la population et d'une multitude de groupes de défense des droits humains, de syndicats et de groupes communautaires dans notre dénonciation des actes de répression illégaux commis par la police à Toronto. Les gens ne sont pas dupes et n'acceptent pas qu'un chef de police mente délibérément à la population au nom d'une sécurité qui annihile nos droits fondamentaux. » d'ajouter Danie Royer. Toute la population est invitée à prendre part à l'importante manifestation en solidarité avec les arrêté-e-s du G20 et contre la répression qui se tiendra le 17 juillet à compter de 13h à partir du Carré Phillips à Montréal.

    Loin de nous réduire au silence, ce dernier épisode de répression politique massive a contribué à une importante solidarisation de la population envers les questions de justice et de liberté. Les militant-e-s de la CLAC 2010 et leurs allié-e-s ont d'ailleurs formé de nouveaux comités de soutien légal et psycho-social pour répondre aux différents besoins des personnes ayant été arrêtées et détenues dans des conditions difficiles, voire inhumaines.

    La Convergence des luttes anticapitalistes de Montréal 2010 (CLAC 2010) est un réseau de groupes et d'individus qui se sont réunis pour consolider leurs luttes respectives à l'échelle locale et mobiliser leurs communautés en vue des sommets du G8 et du G20.

    CLAC 2010 MÉDIA :
    Twitter: www.twitter.com/CLACMontreal
    Site internet: www.clac2010.net
    [Nous pouvons répondre aux demandes d'entrevue en français, anglais et
    espagnol.]









    Amir Khadir paye la caution de Jaggi Singh

    L'activiste montréalais Jaggi Singh a été libéré d'une prison ontarienne, lundi, grâce à une caution de 10 000 $ payée en partie par le député de Québec solidaire, Amir Khadir.

    Singh s'était livré aux autorités la semaine dernière. Un mandat d'arrestation avait été lancé contre lui à la suite de sa participation aux manifestations anti-G20, à Toronto, à la fin de juin.

    Le représentant de la circonscription de Mercier à l'Assemblée nationale, Amir Khadir, a versé la moitié du montant de la caution de 10 000 $ exigée pour la libération de Singh.

    « C'est par devoir d'assistance à mes compatriotes du Québec que je pose ce geste », a mentionné Khadir par voie de communiqué, lundi.

    Patrick Cadorette, un Québécois incarcéré à Toronto depuis les manifestations anti-G20 des 26 et 27 juin, a lui aussi recouvré sa liberté, lundi, moyennant le dépôt d'une caution.

    Les deux hommes devront respecter des conditions de libération sévères. Ils seront assignés à résidence chez les personnes qui se sont portées garantes d'elles et ne pourront sortir que pour aller au travail ou pour des cas d'urgence.

    Singh et Cadorette ne peuvent non plus participer à l'organisation de manifestations ou prendre part à l'une d'elles.

    Plusieurs personnes qui ont défilé devant un juge en lien avec les manifestations doivent répondre à des accusations de complot pour entrave à la justice et de complot pour commettre des méfaits.

    Plusieurs actes de vandalisme ont été commis à Toronto lors du passage des chefs des principales économies de la planète. Des vitres de commerces ont été fracassées et quatre voitures de police ont été incendiées.

    Les policiers ont procédé à plus de 900 arrestations en lien avec les manifestations anti-G20 à Toronto. La majorité des personnes interpellées ont été libérées sans condition.

    Des personnes arrêtées ont dénoncé les conditions d'incarcération dans un centre de détention temporaire. Plusieurs plaintes sur les agissements des policiers lors des manifestations ont aussi été déposées.

    Il y aura une enquête indépendante sur les gestes posés par les policiers durant le sommet du G20.

    (Agence QMI)
     
  5. QuebecUnderground

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    4 Avril 2008
    Re : 900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

    http://www.youtube.com/watch?v=LaoXZeVTJAc&feature=player_embedded

    Traduction du début du vidéo:

    - Policière souriante : Tu aimes les bulles....
    - Militante : oui
    - Policière souriante : c'est quoi ton nom ?
    - Militante : mon nom est (...)
    - Policier noir : Si les bulles me touchent, tu vas être arrêtée pour assaut contre un policier. Me comprends tu ?
    - Militante : (juste pour des) bulles ?
    - Policier noir : Oui c'est ca. C'est un acte délibéré de ta part, je vais t'arrêter.
    (...)


    HALLUCINANT !


    À Tonronto, faire des bulles est un crime d'assaut contre un policier !!! 1,5 milliards de budget en sécurité pour nous protéger contre les dangereuses bu-bulles.... Bientot les gamins vont être considérés comme des terroristes...
     
  6. Vince_Snake_qc

    Vince_Snake_qc


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    11 Mai 2008
    Re : 900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

    wow... selon moi, un flic qui réagis ainsi, c'est parce qu'il sent qu'il ne contrôle pas la situation à 100%. Il joue alors le "Bad Cop" pour faire peur car: peur= contrôle.

    Par contre il s'est fait une très mauvaise réputatiion, ce vidéo est partout sur le net. Il y a meme des parodies.

    http://www.youtube.com/watch?v=u_j6Z5AKzw8
    http://www.youtube.com/watch?v=-qHkQ6RvNHA
    http://www.youtube.com/watch?v=PTywrjfzdWI&feature=related





    Il fait peur quand il dit "Put it awa!". On dirais "Major Payne".
     
    Dernière édition par un modérateur: 19 Juillet 2010
  7. QuebecUnderground

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    4 Avril 2008
    Re : 900 arrestations en 32h aux G8 et G20: «du jamais vu dans l’histoire du Canada» selon la CLAC

    ahahahahaha j'avais pas vu les parodies.... trop fort.... ce policier est rendu célèbre :p
     
  8. QuebecUnderground

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