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Discussion dans 'Discussion générale' créé par Nyark nyark, 10 Novembre 2008.

  1. Mireille

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  3. M.A.C.

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  4. Mireille

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  5. Mireille

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  6. servina

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    12 Février 2009
    les deux livres que j'ai lu dernièrement sont : éducation autogestion ethique de hugues lenoir et message des hommes vrai au monde mutant de je sais plus qui
     
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  7. Mireille

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    15 Mai 2021
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    Moi c'est pareil, lorsqu'il s'agit de citer un livre, je suis bien souvent incapable de m'en souvenir, si bien que je dois toujours faire une recherche dans ma pile de bouquins :)


    En tout cas, il me semble que le "je ne sais plus qui", il mérite tout les prix littéraires :)
     
    Dernière édition: 26 Février 2022
  8. HNORD

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    30 Mars 2017
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    Marlo Morgan. Texte en pdf ci-dessus
     
  10. celadrel

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  11. celadrel

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  12. servina

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    12 Février 2009
    Surtout que quand j'achete un bouquin la plupart du temps je le met dans une boite à livre qu'on trouve un peu partout alors pour me souvenir de qui c'est des fois c'est dur, bon une petite recherche de deux sec sur internet aurait réglé le probleme mais des fois je pense pas à tout.
    Message des homme vrai m'a fait pleurer à certain moment, j'ai adoré le lire
     
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  13. celadrel

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    18 Mars 2020
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    Le business de la haine - Henri Verdier, Jean-Louis Missika
    En vingt ans, les réseaux sociaux ont imposé leurs modes d’accès à l’information et changé la nature du débat public.
    Conçus au service de la publicité comportementale, leurs algorithmes enferment les individus dans des mondes étanches qui interdisent la confrontation des opinions contradictoires et renforcent les préjugés : la désinformation devient la règle, les discours de haine prospèrent et la polarisation politique s’accentue. Le Business de la haine montre que, plus encore que la haine ordinaire, c’est le mode de fonctionnement et le modèle économique des réseaux sociaux qui menacent la démocratie. Ce qui est désormais en péril, c’est la possibilité pour les citoyens de s’accorder sur les faits qui fondent leurs désaccords, et surtout de les résoudre selon un processus démocratique.
    Jean-Louis Missika et Henri Verdier racontent cette crise et l’inscrivent dans la perspective de l’histoire des médias et de leur régulation depuis le XIXe siècle jusqu’à l’attaque du Capitole, le 6 janvier 2021. Ils proposent de construire l’espace public de la délibération démocratique comme un bien commun qu’aucun opérateur privé ou étatique ne pourra s’approprier. Ils tracent les lignes d’une authentique régulation et en appellent au courage politique pour imposer aux plateformes ce nécessaire contrôle démocratique.

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  14. celadrel

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  18. Mireille

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    15 Mai 2021
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    Une déclaration de guerre télévisée

    Guerre en Ukraine : Les responsables de crimes internationaux devront rendre des comptes

    L'article en entier (L'orient le jour)

    "

    De Damas à Kiev, la « méthode Poutine »
    L’intervention russe en Ukraine répond plus ou moins au même schéma que la participation active de Moscou à la guerre civile syrienne, même si les enjeux sont autrement importants pour le Kremlin.
    OLJ / Par Soulayma MARDAM BEY, le 22 février 2022

    Des contextes différents, mais une seule et même méthode. Alors que le président russe Vladimir Poutine a reconnu lundi soir l’indépendance des territoires séparatistes prorusses de Donetsk et de Lougansk, situés dans la région russophone du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, et qu’il a ordonné à son armée d’y « maintenir la paix », tout ou presque dans la succession de ses actes depuis trois mois fait écho à une autre séquence politique, celle qui s’est jouée en Syrie entre août 2013 et décembre 2016. Comme si le terrain syrien avait servi de laboratoire d’expérimentation à Vladimir Poutine pour non seulement tester plus de 200 nouvelles armes ou y entraîner plus des trois quarts des pilotes et équipages constituant les forces aériennes russes, mais aussi et surtout pour mettre à l’épreuve la pusillanimité occidentale, et les limites de Washington et des Européens. Un brouillon, en somme, dans un environnement plus lointain et moins accessible à la population russe, qui devait préfigurer la mise au propre actuelle du côté de son « étranger proche ».
    Dans les deux cas, un alliage d’imprévisibilité, de coups de force et de volonté factice d’apaisement a caractérisé la stratégie du Kremlin. Dans les deux cas, les Occidentaux se sont montrés démissionnaires, même si, concernant l’Ukraine, les Européens ont ces derniers temps redoublé d’efforts pour s’accorder sur une position commune. Kiev a beau revêtir une dimension autrement symbolique que Damas – pour Moscou d’abord, pour l’UE ensuite –, les parallèles sont frappants, significatifs, d’une part, des écueils de la diplomatie occidentale, d’autre part, de la ténacité russe.
    Feu vert
    Le péché originel date d’août 2013, quand, soudainement, les lignes rouges définies par Washington se sont évaporées. Alors que le président américain Barack Obama avait promis d’intervenir si des armes non conventionnelles étaient utilisées dans le cadre de la guerre civile syrienne, il s’est finalement illustré par sa volte-face spectaculaire après l’attaque chimique contre la rébellion dans la banlieue de Damas, imputée au régime Assad. Un rétropédalage dont s’est immédiatement saisi Moscou pour suggérer à son allié syrien de placer ses armes chimiques sous contrôle, ôtant ainsi aux Occidentaux le principal argument justifiant une intervention. En septembre 2015, nouveau coup de tonnerre. Moscou se lance, sans l’avoir annoncé au préalable – même s’il y a eu des signes avant-coureurs –, dans la plus grande opération militaire en dehors des frontières de l’ex-URSS depuis l’invasion de l’Afghanistan en allant porter secours au régime syrien. « Sans revirement américain sur le dossier syrien, il n’y aurait pas eu d’annexion de la Crimée en 2014 », confiait, à l’époque, à L’Orient-Le Jour une source diplomatique occidentale.

    En Syrie comme en Ukraine, quand Vladimir Poutine joue la carte de la désescalade, c’est pour repartir de plus belle. Une tactique qu’il a réexploitée dimanche dernier en exprimant, à la suite de ses discussions téléphoniques avec les présidents français et américain, une volonté d’accalmie. Coup de bluff. À peine 24 heures plus tard, voilà qu’il reconnaît les « Républiques populaires » autoproclamées et que ses hommes franchissent la frontière. « La principale leçon de l’intervention de la Russie en Syrie est que le Kremlin peut agir de manière décisive à des moments cruciaux en ignorant fondamentalement l’opinion occidentale, confiait à L’OLJ, quelques heures avant l’offensive russe, Sergey Radchenko, historien et professeur à la Johns Hopkins School of Advanced International Studies. Il est en outre capable de modifier rapidement la situation sur le terrain grâce à une utilisation efficace de la force militaire. Il s’agit d’un nouveau développement, dont l’opération russe en Syrie a été la première démonstration. ». Il y a de fait, dans la façon qu’a Poutine de narguer aujourd’hui ses adversaires, d’indéniables similitudes avec la manière dont il a géré la bataille d’Alep en 2016, menant la danse de bout en bout, négociant la cessation ou la reprise des hostilités, soumettant alliés comme rivaux, ne leur accordant du répit que pour mieux les prendre au dépourvu.
    On se souvient à cet égard de la stratégie de l’anéantissement employée par Moscou dans la partie orientale de la ville aux mains des rebelles. Une méthode déjà éprouvée à Grozny, en Tchétchénie, au tournant du millénaire, et consistant à raser les lieux, à bombarder massivement les infrastructures civiles, à faire fuir une population perçue comme favorable à l’opposition, à la terroriser. Sur place toutefois, Moscou a mobilisé peu d’hommes, avec moins de 5 000 soldats stationnés en permanence depuis son intervention. En revanche, il a pu miser sur les ressources humaines fournies par l’Iran à travers son réseau international de milices. Or, dans le cas présent, l’Ukraine était presque entièrement encerclée par plus de 100 000 soldats dans un premier temps, plus de 150 000 à la veille de l’invasion lundi. Sans compter les 1 200 chars, 200 avions de combat et 200 obusiers. « On a constaté un mouvement de puissance et d’équipements militaires russes entre la Syrie et l’Ukraine. Depuis ses bases en Syrie, le commandement russe a renforcé la flotte de la mer Noire et ses alliés dans la région du Donbass, commente Ruslan Trad, analyste et cofondateur de De Re Militari, un journal basé en Bulgarie. En outre, la Russie a testé en Syrie des douzaines d’armes nouvelles, y compris celles ensuite amassées à la frontière ukrainienne. »
    Désinformation et intimidation
    De Damas à Kiev, la Russie opte pour un avancement progressif qui ne dit pas son nom. C’est au nom de la stabilité qu’est intervenu, au départ, Poutine en Syrie. Aujourd’hui, la Syrie est une province russe. C’est officiellement pour se protéger de « provocations » imputées à l’OTAN par Moscou et pour défendre la population russophone du Donbass, qui serait menacée par Kiev, qu’il intervient dans cette zone. Mais c’est bien toute l’Ukraine, cette nation slave sœur aux frontières arbitraires d’après lui, qu’il a dans le collimateur. « Même pas un État », selon les propos qu’aurait confiés Poutine à son homologue américain George W. Bush en 2008. « La Russie a un intérêt beaucoup plus important en Ukraine et les coûts d’une guerre y sont incomparablement plus élevés qu’en Syrie, observe Sergey Radchenko. La Syrie était en quelque sorte un théâtre de guerre froide pour les Russes, comme une guerre par procuration. »

    Lire aussi
    Les bases militaires en Syrie, un outil de pression russe contre l’OTAN en Méditerranée

    Afin de justifier la montée des tensions ayant précédé l’invasion du Donbass, Vladimir Poutine n’a cessé de répéter que l’OTAN n’aurait pas respecté sa promesse dans les années 90, après la chute de l’URSS, de ne pas intégrer les pays d’Europe centrale et orientale. Dans un discours prononcé le 1er février courant, le chef de l’État russe a déclaré que les Russes ont été « escroqués, trompés ». Un verbe qui résonne d’ailleurs avec celui qu’il avait employé en 2014 lors de l’annexion de la Crimée : « Ils nous ont menti à plusieurs reprises, ils ont pris des décisions dans notre dos, ils nous ont mis devant le fait accompli. » Dans le cas syrien, le sentiment de trahison – moindre – remonte à février 2011, dans le sillage de l’intervention occidentale en Libye avec l’aval de l’ONU. Moscou avait choisi de s’abstenir face à la résolution appuyant la formation d’une zone d’exclusion aérienne plutôt que de mettre son veto. Mais à la condition difficilement tenable que l’engagement dans le pays n’aboutisse pas à un renversement du régime.
    En sus de sa force militaire, Moscou a fait de la propagande son deuxième grand atout. En Syrie, Poutine a gagné une autre guerre, celle de l’information. Et il est bien décidé à en faire de même avec l’Ukraine. Elle lui a permis, à Alep notamment, de faire de la partie un tout, de ranger toute l’opposition à Assad dans la catégorie jihadiste et de nier les actions de l’Armée syrienne libre contre l’État islamique.
    Le Kremlin est parvenu, grâce à des médias déployés dans plusieurs langues à travers le monde, à mobiliser différentes émotions au sein d’audiences diverses en convoquant l’histoire nationale, que ce soit l’héritage chrétien, la grandeur de l’empire russe ou la victoire de l’URSS face au nazisme. « La Russie essaye d’utiliser les mêmes fausses accusations dans les deux cas. L’opposition syrienne est généralement dépeinte comme étant jihadiste et les Ukrainiens sont décrits comme des nazis », rappelle Ruslan Trad. Moscou est allé jusqu’à évoquer un génocide qui serait en cours dans le Donbass, perpétré par les autorités ukrainiennes de Kiev. Dans des pays occidentaux où de larges franges des opinions publiques se montrent de plus en plus défiantes vis-à-vis de leur modèle démocratique et des médias traditionnels censés le soutenir, Poutine a réussi à se faire apprécier comme antimodèle porteur de valeurs telles que le patriotisme, la puissance ou le conservatisme. Ses manœuvres en Syrie sont louées au sein des droites dures au nom de la stabilité, de la défense des chrétiens d’Orient ou encore de la lutte contre l’islamisme. De façon plus ironique, elles peuvent être plébiscitées dans les rangs des gauches radicales par opposition à l’impérialisme… occidental. La même stratégie est à l’œuvre actuellement avec l’Ukraine, où les événements de lundi sont interprétés comme la réponse à une agression contre Moscou.
    De Damas à Kiev, la « méthode Poutine »
     
    Dernière édition: 6 Mars 2022
  19. Mireille

    Mireille Membre actif


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