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truands

Discussion dans 'Discussion générale' créé par Pablito, 3 Mars 2010.

  1. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Pierre Loutrel, dit Pierro le fou, premier ennemi publique numero 1, il s'est tatoué un papillon avec pour inscription "inch allah" en dessous du larynx. Membre du gang des Tractions, avec Jo attia dit jo le boxeur et abel lanos dit le Mammouth.
    ils commentront une serie de braquages sans precedent. Mort a 30 ans suite a ses blessures.
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    Charles "Lucky" Luciano, en 1931 il fait assassiner deux des plus grands chefs de familles de new york, il va réorganiser le crime, et creera le syndicat national du crime, également appelé "la commition". il se fait arreter et prend 50 ans de prison pour proxénétisme, pendant le second conflit mondiale il collaborera avec la cia pour preparer le debarquement en sicile en échange de sa liberté. Il sera libéré sur parole, mais expulsé a naple ou il continuera le plus grand trafique de drogue, il meurt d'une crise cardiaque en 1962. En 1998 le magazine "time" classe Lycku Luciano comme l'un des plus grand batisseur d'empire du 20 ième siècle.
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    Jules Joseph Bonnot, activiste anarchiste, et membres de la bande a Bonnot.
    Je cite wikipédia "Bonnot a le temps de se retrancher dans sa maison, et le chef de la Sûreté préfère faire cerner les alentours et attendre les renforts plutôt que de donner l’assaut. Un long siège commence, mené en personne par le préfet de police, Louis Lépine et sous le commandement du capitaine Pierre Riondet et du lieutenantFélix Fontan de la garde républicaine. De plus en plus de troupes diverses arrivent (jusqu’à un régiment de Zouaves avec sa mitrailleuse Hotchkiss dernier cri), ainsi que de nombreux badauds venus assister au « spectacle ». Bonnot sort de temps en temps sur le perron pour tirer sur ses ennemis ; il est évidemment accueilli par des salves de tir mais parvient à chaque fois à s’en sortir indemne. Tandis que le temps passe et que la police tergiverse sur la façon de mettre fin au siège, il se désintéresse peu à peu de ses assaillants pour se mettre à écrire son testament."

    "Après Bonnot, les deux derniers membres de la bande en liberté sont Valet et surtout Garnier, auteur de la plupart des meurtres. Le 14 mai 1912, ils sont localisés dans un pavilon de Nogent-sur-Marne. Les policiers espèrent réaliser une arrestation « en douceur », mais manquant de discrétion, ils sont repérés par Valet et Garnier qui se retranchent dans la maison. Un nouveau siège commence, pratiquement identique à celui de Choisy, avec un très grand nombre de policiers et militaires et une foule de badauds venue suivre les opérations. Pendant plus de 9 heures, Valet et Garnier tiennent en respect une petite armée de forces de l’ordre [3]. Finalement, un régiment de dragons parvient à faire sauter la villa. La police, ayant donné l’assaut, achève les deux hommes et doit ensuite se battre avec la foule pour récupérer les corps que celle-ci voulait réduire en bouillie!"
    "Bonnot commence à militer pour l’anarchisme."
    "Son frère aîné se suicide par pendaison en 1903 suite à un amour déçu."
    "Bonnot milite toujours pour l’anarchisme et acquiert une réputation d’agitateur. Il est alors expulsé de Suisse."
    "Le 21 décembre 1911, à 9h, devant le 148 rue Ordener à Paris, Bonnot, Garnier, Callemin et peut-être un quatrième homme se présentent à la rencontre d’Ernest Caby, garçon de recette de la Société générale, et de son garde du corps, Alfred Peemans. Lorsqu’ils les aperçoivent, Garnier et Callemin se précipitent hors de la voiture, Bonnot restant au volant. Garnier fait feu à deux reprises sur l’encaisseur qui s’effondre, grièvement blessé. Callemin ramasse sa sacoche, et tous deux s’enfuient en direction de la voiture, malgré l’intervention de passants que Bonnot tente de disperser en tirant en l’air. Une fois Callemin et Garnier montés à l’intérieur, Bonnot démarre, mais Callemin fait tomber la sacoche dans le caniveau. Il descend pour la récupérer, aperçoit quelqu’un qui court dans sa direction, sur lequel il tire sans le toucher, puis récupère son butin et remonte dans la voiture. Selon plusieurs témoins, un quatrième homme serait intervenu à ce moment. Enfin, Bonnot démarre, et la bande prend la fuite"
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  2. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    A VOUS!!!
     
  3. NadaOiOi!

    NadaOiOi! Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    François Claudius Koënigstein dit Ravachol, le « Rocambole de l'anarchisme », est un militant et terroriste anarchiste né le 14 octobre 1859 à Saint-Chamond (Loire) et mort guillotiné le 11 juillet 1892 à Montbrison.

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    DÉCLARATION DE RAVACHOL LORS DE SON PROCÈS
    1892

    Si je prends la parole, ce n'est pas pour me défendre des actes dont on m'accuse, car seule la société, qui par son organisation met les hommes en lutte continuelle les uns contre les autres, est responsable. En effet, ne voit-on pas aujourd'hui dans toutes les classes et dans toutes les fonctions des personnes qui désirent, je ne dirai pas la mort, parce que cela sonne mal à l'oreille, mais le malheur de leurs semblables, si cela peut leur procurer des avantages. Exemple : un patron ne fait-il pas des voeux pour voir un concurrent disparaître ; tous les commerçants en général ne voudraient-ils pas, et cela réciproquement, être seuls à jouir des avantages que peut rapporter ce genre d'occupations ? L'ouvrier sans emploi ne souhaite-t-il pas, pour obtenir du travail, que pour un motif quelconque celui qui est occupé soit rejeté de l'atelier ? Eh bien, dans une société où de pareils faits se produisent on n'a pas à être surpris des actes dans le genre de ceux qu'on me reproche, qui ne sont que la conséquence logique de la lutte pour l'existence que se font les hommes qui, pour vivre, sont obligés d'employer toute espèce de moyen. Et, puisque chacun est pour soi, celui qui est dans la nécessité n'en est-il pas réduit a penser :

    " Eh bien, puisqu'il en est ainsi, je n'ai pas à hésiter, lorsque j'ai faim, à employer les moyens qui sont à ma disposition, au risque de faire des victimes ! Les patrons, lorsqu'ils renvoient des ouvriers, s'inquiètent-ils s'ils vont mourir de faim ? Tous ceux qui ont du superflu s'occupent-ils s'il y a des gens qui manquent des choses nécessaire ? "

    Il y en a bien quelques-uns qui donnent des secours, mais ils sont impuissants à soulager tous ceux qui sont dans la nécessité et qui mourront prématurément par suite des privations de toutes sortes, ou volontairement par les suicides de tous genres pour mettre fin à une existence misérable et ne pas avoir à supporter les rigueurs de la faim, les hontes et les humiliations sans nombre, et sans espoir de les voir finir. Ainsi ils ont la famille Hayem et le femme Souhain qui a donné la mort à ses enfants pour ne pas les voir plus longtemps souffrir, et toutes les femmes qui, dans la crainte de ne pas pouvoir nourrir un enfant, n'hésitent pas à compromettre leur santé et leur vie en détruisant dans leur sein le fruit de leurs amours.

    Et toutes ces choses se passent au milieu de l'abondance de toutes espèces de produits. On comprendrait que cela ait lieu dans un pays où les produits sont rares, où il y a la famine. Mais en France, où règne l'abondance, où les boucheries sont bondés de viande, les boulangeries de pains, où les vêtements, la chaussure sont entassés dans las magasins, où il y a des logements inoccupés ! Comment admettre que tout est bien dans la société, quand le contraire se voit d'une façon aussi claire ? Il y a bien des gens qui plaindront toutes ces victimes, mais qui vous diront qu'ils n'y peuvent rien. Que chacun se débrouille comme il peut ! Que peut-il faire celui qui manque du nécessaire en travaillant, s'il vient a chômer ? Il n'a qu'à se laisser mourir de faim. Alors on jettera quelques paroles de pitié sur son cadavre. C'est ce que j'ai voulu laissé à d'autres. J'ai préféré me faire contrebandier, faux monnayeur, voleur, meurtrier et assassin. J'aurai pu mendier : c'est dégradant et lâche et même puni par vos lois qui font un délit de la misère. Si tous les nécessiteux, au lieu d'attendre, prenaient où il y a et par n'importe quel moyen, les satisfaits comprendraient peut-être plus vite qu'il y a danger à vouloir consacrer l'état social actuel, où l'inquiétude est permanente et la vie menacée à chaque instant.

    On finira sans doute plus vite par comprendre que les anarchistes ont raison lorsqu'ils disent que pour avoir la tranquillité morale et physique, il faut détruire les causes qui engendrent les crimes et les criminels : ce n'est pas en supprimant celui qui, plutôt que de mourir d'une mort lente par suite de privation qu'il a eues et aurait à supporter, sans espoir de les voir finir, préfère, s'il a un peu d'énergie, prendre violemment ce qui peut lui assurer le bien-être, même au risque de sa mort qui ne peut être qu'un terme à ses souffrances.

    Voilà pourquoi j'ai commis les actes que l'on me reproche et qui ne sont que la conséquence logique de l'état barbare d'une société qui ne fait qu'augmenter le nombre de ses victimes par la rigueur de ses lois qui sévissent contre les effets sans jamais toucher aux causes ; on dit qu'il faut être cruel pour donner la mort à son semblable, mais ceux qui parlent ainsi ne voient pas qu'on ne s'y résout que pour l'éviter soi-même.

    De même, vous, messieurs les jurés, qui, sans doute, allez me condamner à la peine de mort, parce que vous croirez que c'est une nécessité et que ma disparition sera une satisfaction pour vous qui avez horreur de voir couler le sang humain, mais qui, lorsque vous croirez qu'il sera utile de le verser pour assurer la sécurité de votre existence, n'hésiterez pas plus que moi à le faire, avec cette différence que vous le ferez sans courir aucun danger, tandis que, au contraire, moi j'agissais aux risque et péril de ma liberté et de ma vie.

    Eh bien ! messieurs, il n'y a plus de criminels à juger, mais les causes du crime a détruire. en créant les articles du Code, les législateurs ont oublié qu'ils n'attaquaient pas les causes mais simplement les effets, et qu'alors ils ne détruisaient aucunement le crime ; en vérité, les causes existant, toujours les effets en découleront. Toujours il y aura des criminels, car aujourd'hui vous en détruisez un, demain il y en aura dix qui naîtront.

    Que faut-il alors ? Détruire la misère, ce germe de crime, en assurant è chacun la satisfaction de tous les besoins ! Et combien cela est difficile à réaliser ! Il suffirait d'établir la société sur de nouvelles bases où tout serait en commun, et ou chacun, produisant selon ses aptitudes et ses forces, pourrait consommer selon ses besoins. Alors on ne verra plus des gens comme l'ermite de Notre-Dame-de-Grâce et autres mendier un métal dont ils deviennent les esclaves et les victimes ! On ne verra plus les femmes céder leurs appas, comme une vulgaire marchandise, en échange de ce même métal qui nous empêche bien souvent de reconnaître si l'affection est vraiment sincère. On ne verra plus des hommes comme Pranzini, Prado, Berland, Anastay et autres qui, toujours pour avoir de ce même métal, en arrivent à donner la mort ! Cela démontre clairement que la cause de tous les crimes est toujours la même et qu'il faut vraiment être insensé pour ne pas la voir.

    Oui, je le répète : c'est la société qui fait les criminels, et vous jurés, au lieu de les frapper, vous devriez employer votre intelligence et vos forces à transformer le société. Du coup, vous supprimeriez tous les crimes ; et votre oeuvre, en s'attaquant aux causes, serait plus grande et plus féconde que n'est votre justice qui s'amoindrit à punir les effets.

    Je ne suis qu'un ouvrier sans instruction ; mais parce que j'ai vécu l'existence des miséreux, je sens mieux qu'un riche bourgeois l'iniquité de vos lois répressives. Où prenez-vous le droit de tuer ou d'enfermer un homme qui, mis sur terre avec la nécessité de vivre, s'est vu dans la nécessité de prendre ce dont il manquait pour se nourrir ?

    J'ai travaillé pour vivre et faire vivre les miens ; tant que ni moi ni les miens n'avons pas trop souffert, je suis resté ce que vous appelez honnête. Puis le travail a manqué, et avec le chômage est venue la faim. C'est alors que cette grande loi de la nature, cette voix impérieuse qui n'admet pas de réplique : l'instinct de la conservation, me poussa à commettre certains des crimes et délits que vous me reprochez et dont je reconnais être l'auteur.

    Jugez-moi, messieurs les jures, mais si vous m'avez compris, en me jugeant jugez tous les malheureux dont la misère, alliée à la fierté naturelle, a fait des criminels, et dont la richesse, dont l'aisance même aurait fait des honnêtes gens !

    Une société intelligente en aurait fait des gens comme tout le monde !


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    Le susnommé, après avoir mangé de bon appétit, nous a parlé en ces termes : " Messieurs, j'ai l'habitude, partout où je me trouve de faire de la propagande. Savez-vous ce qu'est l'anarchie ? ". A cette demande, nous avons répondus que non...

    ... Cela ne m'étonne pas, répondit-il. La classe ouvrière, qui comme vous est obligée de travailler pour se procurer du pain, n'a pas le temps de s'adonner à la lecture des brochures que l'on met à sa portée ; il en est de même pour vous.

    L'anarchie, c'est l'anéantissement de la propriété.

    Il existe actuellement bien des choses inutiles, bien des occupations qui le sont aussi, par exemple, la comptabilité. Avec l'anarchie, plus besoin d'argent, plus besoin de tenue de livres et d'autres emplois en dérivant.

    Il y a actuellement un trop grand nombre de citoyens qui souffrent tandis que d'autres nagent dans l'opulence, dans l'abondance. Cet état de choses ne peut durer ; tous nous devons non seulement profiter du superflu des riches mais encore nous procurer comme eux le nécessaire. Avec la société actuelle il est impossible d'arriver à ce but. Rien, même pas l'impôt sur les revenus ne peut changer la face des choses et cependant la plupart des ouvriers se persuadent que si l'on agissait ainsi, ils auraient une amélioration. Erreur, si l'on impose le propriétaire, il augmentera ses loyers et par ce fait se sera arrangé à faire supporter à ceux qui souffrent la nouvelle charge qu'on lui imposerait. Aucune loi, du reste, ne peut atteindre les propriétaires, car étant maîtres de leurs biens on ne peut les empêcher d'en disposer à leur gré.

    Que faut-il faire alors ? Anéantir la propriété et par ce fait anéantir les accapareurs. Si cette abolition avait lieu, il faudrait aussi abolir l'argent pour empêcher toute idée d'accumulation qui forcerait au retour du régime actuel.

    C'est l'argent en effet le motif de toutes les discordes, de toutes les haines, de toutes les ambitions, c'est en un mot le créateur de la propriété. Ce métal, en vérité, n'a qu'un prix conventionnel né de sa rareté. Si l'on était plus obligé de donner quelque chose en échange de ce que nous avons besoin pour notre existence, l'or perdrait sa valeur et personne ne chercherait et ne pourrait s'enrichir puisque rien de ce qu'il amasserait ne pourrait servir à lui procurer un bien-être supérieur à celui des autres. De là, plus besoin de lois, plus besoin de maîtres.

    Quant aux religions, elles seraient détruites puisque leur influence morale n'aurait plus lieu d'exister. Il n'y aurait plus cette absurde idée de croire en un dieu qui n'existe pas car après la mort, tout est bien fini. Aussi doit-on tenir à vivre, mais quand je dis vivre, je m'entends. Ce n'est pas piocher toute la journée pour engraisser ses patrons et devenir, en crevant de faim, les auteurs de leur bien-être.

    Il ne faut pas de maîtres, de ces gens qui entretiennent leur oisiveté avec notre travail, il faut que tout le monde se rende utile à la société, c'est-à-dire travaille selon ses capacités et ses aptitudes ; ainsi un tel serait boulanger, l'autre professeur, etc. Avec ce principe, le labeur diminuerait, nous n'aurions chacun qu'une heure ou deux de travail par jour. L'homme, ne pouvant rester sans occupation, trouverait une distraction dans le travail ; il n'y aurait pas de fainéants et s'il en existait, leur nombre serait tellement minime qu'on pourrait les laisser tranquilles et les laisser profiter sans murmurer du travail des autres.

    N'ayant plus de lois, le mariage serait détruit. On s'unirait par penchant, par inclinaison et la famille se trouverait constituée par l'amour du père et de la mère pour leurs enfants. Si par exemple, une femme n'aimait plus celui qu'elle avait choisi pour compagnon, elle pourrait se séparer et faire une nouvelle association. En un mot, liberté complète de vivre avec ceux que l'on aime. Si, dans le cas que je viens de citer, il y avait des enfants, la société les élèverait c'est-à-dire que ceux qui aimeraient les enfants, les prendraient à leur charge. Avec cette union libre, plus de prostitution. Les maladies secrètes n'existeraient plus puisque celles-ci ne naissent que de l'abus du rapprochement des sexes, abus auquel est obligée de se livrer la femme que les conditions actuelles de la société forcent à en faire un métier pour subvenir à son existence. Ne faut-il pas pour vivre de l'argent à tout prix !

    Avec mes principes que je ne puis en si peu de temps vous détailler à fond, l'armée n'aurait plus raison d'être puisqu'il n'y aurait plus de nations distinctes, les propriétés étant détruites et toutes les nations s'étant fusionnées en une seule qui serait l'univers.

    Plus de guerres, plus de querelles, plus de jalousie, plus de vol, plus d'assassinat, plus de magistrature, plus de police, plus d'administration.

    Les anarchistes ne sont pas encore entrés dans le détail de leur constitution, seuls les jalons en sont jetés. Aujourd'hui les anarchistes sont assez nombreux pour renverser l'état actuel des choses, et si cela n'a pas lieu c'est qu'il faut compléter l'éducation des adeptes, faire naître en eux l'énergie et la ferme volonté d'aider à la réalisation de leurs projets. Il ne faut pour cela qu'une poussée, que quelqu'un se mette à leur tête et la révolution s'opérera.

    Celui qui fait sauter les maisons a pour but d'exterminer tous ceux qui par leurs situations sociales ou leurs actes sont nuisibles à l'anarchie. S'il était permis d'attaquer ces gens-là sans crainte de la police et par conséquent pour sa peau, on n'irait pas détruire leurs habitations à l'aide d'engins explosibles, moyens qui peuvent tuer en même temps qu'eux la classe souffrante qu'ils ont à leur service.


    Notes : les déclarations et les mémoires que Ravachol dicta à ses gardiens furent exhumées par Jean Maitron des archives de la préfecture de police et publiées dans son Ravachol et les Anarchistes (Paris, 1964). La transcription donnée en ces pages est en tout point fidèle à celle de l'auteur du Mouvement Anarchiste qui lui-même, hormis quelques corrections orthographiques, respecta les documents conservés aux archives de la préfecture.

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    Un grand respect à celles et ceux qui prendront la peine de tout lire! :p
     
  4. monkey.love

    monkey.love Membre du forum


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    1 Février 2010
    Re : truands

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    Les Freres Daltons...

    Pire ennemis de Lucky Luke...

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    Le vrai gang Dalton...

    Robert, Grat, et Emmett Dalton, connu sous le nom des frères Dalton ou la bande des Dalton (en anglais Dalton Gang) était un célèbre groupe de hors-la-loi qui a sévi dans l'Ouest américain entre 1890 et 1892, attaquant principalement des banques et des trains. La bande comprenait également des hommes n'appartenant pas à la fratrie : William McElhanie, « Narrow Gauge Kid », George Newcomb, Charlie Bryant dans un premier temps puis Bill Powers et Dick Broadwell (tués au braquage de Coffeyville). Un des frères, Bill Dalton forma lui sa propre bande...
     
  5. NadaOiOi!

    NadaOiOi! Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    LA BANDE A NADA!

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    Dernière édition par un modérateur: 4 Mars 2010
  6. Rudedaph

    Rudedaph Membre actif


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    26 Janvier 2010
    Re : truands

    dans loutrel ya :
    :ecouteurs: loutre :ecouteurs:

    oui je suis monomaniaque des loutres... mais au moins ce sont des vraies rebelles ... ELLES!!!!
    :ecouteurs:
     
  7. monkey.love

    monkey.love Membre du forum


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    1 Février 2010
    Re : truands

    Morsay

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  8. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    nan mais pfff...:roflmao:
    je veux des vrais truands moi! des gens qui ont marqué l'histoire!
     
  9. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    « Vous faites une bonne affaire ! Ma tête vaut cent mille francs, chacune des vôtres sept centimes et demi. Oui, c’est le prix exact d’une balle de browning ! »

    citation de raymond la science, lors de son arrestation, membre de la bande a bonnot
     
  10. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    Alphonse Boudard

    Romancier français (1925-2000). De père inconnu et d'une mère prostituée, il devint apprenti typographe en 1940. Il entra dans la Résistance et, à la Libération, se tourna vers le banditisme. Après plusieurs séjours en prison, il se consacra à l'écriture. Il évoquera ainsi un Paris populaire des années 40 à travers ses gangsters, proxénètes, maquerelles, escrocs et prêtres pervers...

    "N'avouez jamais! L'adage du louchebem guillotiné au siècle dernier. Ce qu'il a gueulé sur la bascule: N'avouez jamais! Son cri, d'écho en écho, dans les taules, nous parvient toujours."

    "Je pense à présent qu'il faut se conduire toujours en homme du monde avec les putes et souvent en julot avec les bourgeoises."

    "Ca tient, les options politiques, l'engagement dans un sens, dans l'autre, parfois du hasard. On était tel jour, tel endroit... On a rencontré celui-là plutôt que celui-ci, et tout est joué."

    "Au brochage il y avait Jeanne... une forte fille roulée au moule... les parechocs... les hanches! Future mamelue aucun doute... sans les restrictions elle aurait peut-être déjà un cul à couver quatorze canards!"

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  11. NadaOiOi!

    NadaOiOi! Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    Pas touche à mes post pablo!

    Mdr "la bande à Nada" :roflmao:
    (bon je crois que j'ai perdu sur ce coup là...)
     
  12. Pablito

    Pablito Membre actif


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    11 Août 2008
    Re : truands

    t'es fou toi! j'veux pas qu'on mette cte photo! lol^^
     
  13. MT1er

    MT1er Membre actif


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    4 Mars 2010
    Re : truands

    Faut-il encore parler d'un certain Jacques Mesrine?