On en parle ...

les ordures profiteur de guerre et du malheur , celà existe malheureusement. pour celà , on a des battes

 

Après sa guerre, Moscou voulait effacer l’Ukraine : le plan glaçant de « dénazification » dévoilé (ouest-france.fr)
Je vous met le texte directement tiré de l'agence de presse(Ce que la Russie devrait faire avec l’Ukraine - RIA Novosti, 05.04.2022) long mais necessaire pour comprendre tout du belligérant

En avril de l’année dernière, nous écrivirent sur l’inévitabilité de la dénazification de l’Ukraine. Nous n’avons pas besoin d’une Ukraine nazie, basée à Bandera, ennemie de la Russie et instrument de l’Occident pour détruire la Russie. Aujourd’hui, la question de la dénazification est passée au plan pratique.
La dénazification est nécessaire lorsqu’une partie importante de la population – très probablement la majorité – a été absorbée et entraînée dans la politique par le régime nazi. C’est-à-dire quand l’hypothèse « le peuple est bon – le gouvernement est mauvais » ne fonctionne pas. La reconnaissance de ce fait est la base de la politique de dénazification, de toutes ses activités, et le fait lui-même en est le sujet.
Ukraine se trouve dans cette situation. Le fait que l’électeur ukrainien ait voté pour la « paix de Porochenko » et le « monde de Zelensky » ne devrait pas être trompeur – les Ukrainiens étaient tout à fait satisfaits du chemin le plus court vers la paix à travers la blitzkrieg, à laquelle les deux derniers présidents ukrainiens ont fait allusion de manière transparente lorsqu’ils ont été élus. C’est cette méthode d'« apaisement » des antifascistes internes – par la terreur totale – qui a été utilisée dans Odessa, Kharkiv, Dnepropetrovsk, Mariupol, d’autres villes russes. Et cela convenait assez bien à l’homme ukrainien dans la rue. La dénazification est un ensemble de mesures contre la masse naziisée de la population, qui techniquement ne peut pas être directement punie en tant que criminels de guerre.
Les nazis, qui ont pris les armes, devraient être détruits autant que possible sur le champ de bataille. Aucune distinction significative ne devrait être faite entre NATTE et les soi-disant Natsbats, ainsi que la défense territoriale qui a rejoint ces deux types de formations militaires. Tous sont également impliqués dans une cruauté extrême contre la population civile, sont également coupables du génocide du peuple russe et ne respectent pas les lois et coutumes de la guerre. Les criminels de guerre et les nazis actifs doivent être punis de manière approximative et démonstrative. La lustration totale doit être effectuée. Toutes les organisations qui s’associaient à la pratique du nazisme étaient liquidées et interdites. Cependant, en plus du sommet, une partie importante de la masse populaire, qui sont des nazis passifs, complices du nazisme, est également coupable. Ils ont soutenu et cédé au gouvernement nazi. Une juste punition de cette partie de la population n’est possible que si l’on porte les fardeaux inévitables d’une guerre juste contre le système nazi, menée avec le plus grand soin et la plus grande prudence possible à l’égard des civils. La dénazification de cette masse de la population consiste en une rééducation, qui est réalisée par la répression idéologique (répression) des attitudes nazies et une censure stricte: non seulement dans la sphère politique, mais nécessairement aussi dans le domaine de la culture et de l’éducation. C’est par la culture et l’éducation qu’une profonde nazification de masse de la population a été préparée et mise en œuvre, renforcée par la promesse de dividendes de la victoire du régime nazi sur Russie, la propagande nazie, la violence interne et la terreur, ainsi qu’une guerre de huit ans avec les gens qui se sont rebellés contre le nazisme ukrainien Donbass.
La dénazification ne peut être effectuée que par le gagnant, ce qui implique (1) son contrôle inconditionnel sur le processus de dénazification et (2) le pouvoir d’assurer ce contrôle. À cet égard, un pays dénazifié ne peut être souverain. L’État dénazifiant, la Russie, ne peut pas partir d’une approche libérale de la dénazification. L’idéologie du dénazificateur ne peut être contestée par le coupable soumis à la dénazification. La reconnaissance par la Russie de la nécessité de dénazifier l’Ukraine signifie la reconnaissance de l’impossibilité du scénario de la Crimée pour l’Ukraine dans son ensemble. Cependant, ce scénario était impossible en 2014 et dans le Donbass rebelle. Seulement huit ans de résistance à la violence et à la terreur nazies ont conduit à une cohésion interne et à un refus de masse conscient et sans équivoque de maintenir toute unité et tout lien avec l’Ukraine, qui se définissait comme une société nazie.
Le moment de la dénazification ne peut en aucun cas être inférieur à une génération, qui doit naître, grandir et atteindre la maturité dans les conditions de la dénazification. La nazification de l’Ukraine a duré plus de 30 ans, à partir d’au moins en 1989, lorsque le nationalisme ukrainien a reçu des formes légales et légitimes d’expression politique et a dirigé le mouvement pour « l’indépendance », se précipitant vers le nazisme.

 

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La particularité de l’Ukraine nazificée moderne est l’amorphie et l’ambivalence, qui permettent de déguiser le nazisme en un désir d'« indépendance » et une voie « européenne » (occidentale, pro-américaine) de « développement » (en réalité - à la dégradation), pour affirmer qu’en Ukraine « il n’y a pas de nazisme, seulement des excès privés isolés ». Après tout, il n’y a pas de parti nazi principal, pas de Führer, pas de lois raciales à part entière (seulement une version tronquée d’entre elles sous la forme de répressions contre la langue russe). En conséquence, il n’y a pas eu d’opposition et de résistance au régime.
OTAN « Non, l’UE oui. » L’Occident collectif lui-même est le concepteur, la source et le sponsor du nazisme ukrainien, tandis que les cadres occidentaux de Bandera et leur « mémoire historique » ne sont qu’un des outils de la nazification de l’Ukraine. L’ukronazisme ne comporte pas moins, mais une plus grande menace pour le monde et la Russie que le nazisme allemand d’origine hitlérienne.
Le nom « Ukraine » ne peut apparemment pas être conservé comme titre d’une entité étatique entièrement dénazifiée dans le territoire libéré du régime nazi. Les républiques populaires nouvellement créées dans l’espace libéré du nazisme devraient et vont se développer à partir de la pratique de l’autonomie économique et de la sécurité sociale, de la restauration et de la modernisation des systèmes de soutien de la vie de la population.
Leur aspiration politique ne peut en fait pas être neutre – la rédemption de la culpabilité devant la Russie pour l’avoir traitée comme un ennemi ne peut être réalisée qu’en s’appuyant sur la Russie dans les processus de restauration, de renaissance et de développement. Aucun « plan Marshall » pour ces territoires ne devrait être autorisé. Il ne peut y avoir de « neutralité » au sens idéologique et pratique compatible avec la dénazification. Le personnel et les organisations, qui sont un instrument de dénazification dans les nouvelles républiques dénazifiées, ne peuvent que compter sur la force directe et le soutien organisationnel de la Russie.
La dénazification sera inévitablement aussi la dés-ukrainisation – un rejet de l’inflation artificielle à grande échelle de la composante ethnique de l’auto-identification de la population des territoires historiques de la Malorossiya et de la Novorossiya, qui a été lancée par les autorités soviétiques. Instrument de superpuissance communiste, après sa chute, l’ethnocentrisme artificiel n’est pas resté abandonné. Il est passé à ce titre officiel sous le commandement d’une autre superpuissance (le pouvoir debout sur les États) - la superpuissance de l’Occident. Il faut le ramener aux frontières naturelles et le priver de sa fonctionnalité politique
Contrairement à, disons, Géorgie et les pays BalteL’Ukraine, comme l’histoire l’a montré, est impossible en tant qu’État-nation, et les tentatives de « construire » un État-nation conduisent naturellement au nazisme. L’ukrainisme est une construction artificielle anti-russe qui n’a pas son propre contenu civilisationnel, un élément subordonné d’une civilisation extraterrestre et extraterrestre. La débandérisation seule ne suffira pas à la dénazification – l’élément Bandera n’est qu’un interprète et un écran, un déguisement pour le projet européen de l’Ukraine nazie, de sorte que la dénazification de l’Ukraine est aussi son inévitable déseuropéanisation.
L’élite Bandera doit être liquidée, sa rééducation est impossible. Le « marécage » social, qui l’a soutenu activement et passivement par l’action et l’inaction, doit survivre aux épreuves de la guerre et assimiler l’expérience comme une leçon historique et la rédemption de sa culpabilité. Ceux qui n’ont pas soutenu le régime nazi, qui en ont souffert et la guerre dans le Donbass déclenchée par lui, devraient être consolidés et organisés, devraient devenir le soutien du nouveau gouvernement, son vertical et son horizontal. L’expérience historique montre que les tragédies et les drames de la guerre profitent aux peuples qui sont séduits et emportés par le rôle de l’ennemi de la Russie.
La dénazification en tant que but d’une opération militaire spéciale dans le cadre de cette opération elle-même est comprise comme une victoire militaire sur le régime de Kiev, la libération de territoires des partisans armés de la nazification, l’élimination des nazis irréconciliables, la capture de criminels de guerre, ainsi que la création de conditions systémiques pour la dénazification ultérieure du temps de paix.

 

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Ce dernier, à son tour, devrait commencer par l’organisation d’organes d’autonomie locale, de milices et de défense, nettoyés des éléments nazis, le lancement sur leur base des processus constitutifs de la fondation d’un nouvel État républicain, l’intégration de cet État en étroite coopération avec le département russe pour la dénazification de l’Ukraine (nouvellement créé ou refait, disons, à partir de Rossotrudnichestvo), avec l’adoption sous contrôle russe du cadre réglementaire républicain (législation). sur la dénazification, la définition des limites et du cadre pour l’application directe du droit russe et de la juridiction russe sur le territoire libéré dans le domaine de la dénazification, la création d’un tribunal pour les crimes contre l’humanité dans l’ex-Ukraine. À cet égard, la Russie devrait agir en tant que gardienne des procès de Nuremberg.
Tout ce qui précède signifie que pour atteindre les objectifs de dénazification, il est nécessaire de soutenir la population, de passer du côté de la Russie après la libération de la terreur, de la violence et de la pression idéologique du régime de Kiev, après le retrait de l’isolement de l’information. Bien sûr, il faudra un certain temps pour que les gens se remettent du choc des opérations militaires, pour être convaincus des intentions à long terme de la Russie – qu'« elles ne seront pas abandonnées ». Il est impossible de prévoir à l’avance dans quels territoires une telle masse de population constituera une majorité indispensable. Il est peu probable que la « Province catholique » (Ukraine occidentale composée de cinq régions) fasse partie des territoires pro-russes. La ligne d’aliénation, cependant, sera trouvée empiriquement. Il conservera une Ukraine hostile à la Russie, mais neutre de force et démilitarisée avec le nazisme interdit pour des raisons formelles. Les ennemis de la Russie s’y rendront. La garantie de la préservation de cette Ukraine résiduelle dans un état neutre devrait être la menace de la poursuite immédiate de l’opération militaire en cas de non-respect des exigences énumérées. Cela peut nécessiter une présence militaire russe permanente sur son territoire. De la ligne d’aliénation à la frontière russe sera le territoire de l’intégration potentielle dans la civilisation russe, antifasciste dans sa nature interne.
L’opération de dénazification de l’Ukraine, qui a commencé avec la phase militaire, suivra en temps de paix la même logique d’étapes que l’opération militaire. À chacun d’eux, il sera nécessaire de réaliser des changements irréversibles, qui seront les résultats de l’étape correspondante. Dans ce cas, les étapes initiales nécessaires de la dénazification peuvent être déterminées comme suit:

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  la liquidation des formations armées nazies (qui sont comprises comme toutes les formations armées de l’Ukraine, y compris les forces armées de l’Ukraine), ainsi que l’infrastructure militaire, d’information et éducative qui assure leur activité;
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  la formation d’organes d’autonomie populaire et de milices (défense et ordre public) des territoires libérés, protégeant la population de la terreur des groupes nazis clandestins;
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  installation de l’espace d’information russe;
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  la confiscation du matériel éducatif et l’interdiction des programmes éducatifs à tous les niveaux contenant des idéologies nazies;
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  des actions d’enquête de masse pour établir la responsabilité personnelle des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité, de la diffusion de l’idéologie nazie et du soutien au régime nazi;
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  la lustration, la publication des noms des complices du régime nazi, leur implication dans le travail forcé pour restaurer l’infrastructure détruite comme punition pour les activités nazies (parmi ceux qui ne seront pas soumis à la peine de mort ou à l’emprisonnement);
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  l’adoption au niveau local, sous la supervision de la Russie, d’actes normatifs primaires de dénazification « d’en bas », l’interdiction de tous types et formes de renaissance de l’idéologie nazie ;
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  établissement de mémoriaux, panneaux commémoratifs, monuments aux victimes du nazisme ukrainien, perpétuation de la mémoire des héros de la lutte contre celui-ci;
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  l’inclusion d’un ensemble de normes antifascistes et de dénazification dans les constitutions des nouvelles républiques populaires;
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  la création d’organismes permanents de dénazification pour une période de 25 ans.

La Russie n’aura pas d’alliés pour la dénazification de l’Ukraine. Parce qu’il s’agit d’une affaire purement russe. Et aussi puisque non seulement la version de bandera de l’Ukraine nazie sera éradiquée, mais y compris et surtout le totalitarisme occidental, les programmes imposés de dégradation et de désintégration civilisationnelles, les mécanismes de subordination à la superpuissance de l’Occident et ÉTATS-UNIS.
fin de mener à bien le plan de dénazification de l’Ukraine dans la vie de la Russie elle-même, elle devra enfin se séparer des illusions pro-européennes et pro-occidentales, pour se réaliser comme la dernière instance de protection et de préservation de ces valeurs historiques. Europe (Ancien Monde), qui le mérite et que l’Occident a finalement abandonné, perdant la lutte pour lui-même. Cette lutte s’est poursuivie tout au long du XXe siècle et s’est exprimée dans la guerre mondiale et la Révolution russe, inextricablement liées l’une à l’autre.
La Russie a fait tout son possible pour sauver l’Occident au XXe siècle. Il a mis en œuvre le principal projet occidental, une alternative au capitalisme, qui a vaincu les États-nations, le projet socialiste, rouge. Il a écrasé le nazisme allemand, un produit monstrueux de la crise de la civilisation occidentale. Le dernier acte de l’altruisme russe a été la main tendue de l’amitié russe, pour laquelle la Russie a reçu un coup monstrueux des années 1990.
out ce que la Russie a fait pour l’Occident, elle l’a fait à ses propres frais, en faisant les plus grands sacrifices. L’Occident a finalement rejeté tous ces sacrifices, dévalué la contribution de la Russie à la résolution de la crise occidentale et décidé de se venger de la Russie pour l’aide qu’elle a fournie de manière désintéressée. Alors la Russie suivra son propre chemin, ne s’inquiétant pas du sort de l’Occident, s’appuyant sur une autre partie de son héritage – le leadership dans le processus mondial de décolonisation.
Dans le cadre de ce processus, la Russie a un fort potentiel de partenariat et de relations alliées avec des pays que l’Occident a opprimés pendant des siècles et qui ne vont pas reprendre leur joug. Sans le sacrifice et la lutte russes, ces pays n’auraient pas été libérés. La dénazification de l’Ukraine est en même temps sa décolonisation, que la population ukrainienne devra comprendre alors qu’elle commence à se libérer de la dope, de la tentation et de la dépendance du soi-disant choix européen.
* Organisation extrémiste interdite en Russie.

 

sur ce post , il était dédié à l'Ukraine donc il est normal que l'on parle de la situation ukrainienne cela n'empêche que le sort des autres migrants ici ou bloqués en Ukraine mérite tout aussi bien cette attention

 

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